La voix de Happy Star

« J’ai reçu beaucoup d’aide dans ma vie. Aujourd’hui j’ai plus à donner qu’à recevoir. Je veux continuer à repousser les limites. »

Steve, fondateur de Happy Star

Le visage de l’espoir

Stephen Odiambo Arodi, dit Steve, est un enfant de Mathare. Durant son enfance, il a subi des abus sexuels, psychologiques et physiques de la part de femmes mais surtout d’hommes dans la rue. Steve a fait de son expérience une force et s’est promis de faire changer les choses.

Il a pris l’initiative à 6 ans de suivre un garçon dans la rue qui allait à l’école. Cette décision a été mal accueillie par ses parents qui comptaient sur lui pour gagner de l’argent en vendant de la drogue ou en se prostituant. Ainsi, entre 6 et 14 ans, Steve a vécu seul dans les rues de Mathare. Il a survécu sans ressources grâce à l’aide d’habitants du bidonville. Il a tout d’abord été aidé par une professeure d’école qui, voyant sa détermination, lui a payé son uniforme, son sac et sa scolarité. C’est ensuite le directeur de l’école qui l’a pris sous son aile, puis un curé, puis le Rotary Club.

Sa résilience combinée avec l’aide d’un entourage bienvaillant lui ont permis d’accéder aux études universitaires.

Eduquer pour changer

Steve a étudié la psychologie à l’Université de Nairobi puis a effectué un stage dans un village isolé sur les rives du lac Victoria (Kenya) avec l’association Rafiki Wa Maendeleo Trust. Son rôle était d’encadrer les enfants vulnérables de la communauté. Premier lauréat du bidonville, il y retourna après l’obtention de son diplôme pour ouvrir en 2016 la première école Happy Star. Une meilleure éducation est l’élément clé pour échapper au cycle de la pauvreté dans le monde. Steve veut offrir une éducation préscolaire et primaire de haute qualité afin d’aider les enfants à prendre un meilleur départ dans la vie.

Le visage de l’espoir

Stephen Odiambo Arodi, dit Steve, est un enfant de Mathare. Durant son enfance, il a subi des abus sexuels, psychologiques et physiques de la part de femmes mais surtout d’hommes dans la rue. Steve a fait de son expérience une force et s’est promis de faire changer les choses.

Il a pris l’initiative à 6 ans de suivre un garçon dans la rue qui allait à l’école. Cette décision a été mal accueillie par ses parents qui comptaient sur lui pour gagner de l’argent en vendant de la drogue ou en se prostituant. Ainsi, entre 6 et 14 ans, Steve a vécu seul dans les rues de Mathare. Il a survécu sans ressources grâce à l’aide d’habitants du bidonville. Il a tout d’abord été aidé par une professeure d’école qui, voyant sa détermination, lui a payé son uniforme, son sac et sa scolarité. C’est ensuite le directeur de l’école qui l’a pris sous son aile, puis un curé, puis le Rotary Club.

Sa résilience combinée avec l’aide d’un entourage bienvaillant lui ont permis d’accéder aux études universitaires.

Eduquer pour changer

Steve a étudié la psychologie à l’Université de Nairobi puis a effectué un stage dans un village isolé sur les rives du lac Victoria (Kenya) avec l’association Rafiki Wa Maendeleo Trust. Son rôle était d’encadrer les enfants vulnérables de la communauté. Premier lauréat du bidonville, il y retourna après l’obtention de son diplôme pour ouvrir en 2016 la première école Happy Star. Une meilleure éducation est l’élément clé pour échapper au cycle de la pauvreté dans le monde. Steve veut offrir une éducation préscolaire et primaire de haute qualité afin d’aider les enfants à prendre un meilleur départ dans la vie.

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Photo d’Emmanuel LUYET