Happy star, une nécessité

« Si on ne leur donne pas les bases, on continuera à avoir des enfants dans la rue, armes en main. On continuera à avoir des filles qui se prostituent, on continuera à avoir des hommes et des femmes qui mettront au monde des enfants de manière irresponsable. On doit les responsabiliser dès l’enfance ainsi ils grandiront et deviendront des adultes capables de gérer, d’apprendre et de prospérer dans la vie. »

Steve, fondateur de Happy Star

Happy Star

Il existe actuellement deux associations. Steve a fondé en 2016  « Unique opportunity’s child forum« , laquelle gère l’école Happy Star. En 2020, Alice Denyse Matthey, Tiziana Caminada, et Yves Matthey ont formé « Unique happy child » à Genève dans le but de récolter des fonds.

La situation de l’éducation au Kenya est problématique. Une étude menée par le ministère de l’éducation kenyan a révélé qu’un enfant sur quatre en âge de fréquenter l’école primaire l’a quittée sans aucune qualification ou n’a jamais été scolarisé. Dans certaines régions, les enfants doivent partager un seul manuel scolaire par groupe de 17 élèves.

L’éducation à Mathare

La situation dans le bidonville de Mathare n’est pas meilleure. Plus de 30 % des enfants en âge d’être scolarisés ne le sont toujours pas. Le taux annuel d’abandon scolaire de plus de 28 % reflète la triste réalité au Kenya. La pauvreté, les grossesses et mariages précoces, la délinquance juvénile et la mauvaise éducation parentale poussent les enfants à quitter l’école prématurément. Le fort taux d’abandon creuse un fossé entre les privilégiés et les pauvres, perpétuant ainsi une société inégalitaire. L’éducation est la voie incontestable de la réussite.

Happy Star

Il existe actuellement deux associations. Steve a fondé en 2016  « Unique opportunity’s child forum« , laquelle gère l’école Happy Star. En 2020, Alice Denyse Matthey, Tiziana Caminada, et Yves Matthey ont formé « Unique happy child » à Genève dans le but de récolter des fonds.

La situation de l’éducation au Kenya est problématique. Une étude menée par le ministère de l’éducation kenyan a révélé qu’un enfant sur quatre en âge de fréquenter l’école primaire l’a quittée sans aucune qualification ou n’a jamais été scolarisé. Dans certaines régions, les enfants doivent partager un seul manuel scolaire par groupe de 17 élèves.

L’éducation à Mathare

La situation dans le bidonville de Mathare n’est pas meilleure. Plus de 30 % des enfants en âge d’être scolarisés ne le sont toujours pas. Le taux annuel d’abandon scolaire de plus de 28 % reflète la triste réalité au Kenya. La pauvreté, les grossesses et mariages précoces, la délinquance juvénile et la mauvaise éducation parentale poussent les enfants à quitter l’école prématurément. Le fort taux d’abandon creuse un fossé entre les privilégiés et les pauvres, perpétuant ainsi une société inégalitaire. L’éducation est la voie incontestable de la réussite.

Happy Star Nairobi

Happy Star a vu le jour en 2016 au Kenya. Steve Arodi, directeur et fondateur, est originaire du bidonville de Mathare. Il travaille pour construire des écoles où les enfants peuvent venir étudier, se nourrir et s’épanouir. De même, il veut offrir un programme avec des outils transformateurs pour les groupes et les ménages afin de renforcer la résilience, la confiance, les forces naturelles et les connexions.

En tant que responsable et spécialiste des Droits de l’enfant, Steve dirige une équipe de 13 enseignants spécialisés et 17 experts du changement au sein de la communauté.

Psychologue diplômé, il collabore avec des assistants/es sociaux/ales pour assurer le suivi psychologique des enfants, surtout de ceux qui ont subi des traumatismes violents. Steve et son équipe administrent la gestion durable des projets par la planification, le suivi et le contrôle des processus d’exécution et de soutien de ces dernières. Ils prennent en compte les aspects environnementaux, économiques et sociaux du cycle de vie des ressources, des processus, des résultats et des effets du projet.

L’objectif est d’enseigner aux enfants de Mathare leurs droits, tels que le droit de ne pas être battus ou abusés sexuellement ou encore le droit à l’éducation et à la nourriture.

Il veut leur redonner confiance et dignité pour les rendre fiers. L’accès à une bonne éducation permet aux enfants d’identifier leurs défis et changer leur vie malgré les difficultés dues au contexte social.

Au fil des ans, l’école a attiré plus de 300 enfants, de la maternelle à l’école primaire (4 ans – 14 ans). Une garderie a été construite pour accueillir les enfants âgés de 1 à 3 ans. L’école a continué à se développer en raison de la demande croissante des enfants à recevoir une éducation, des soins de santé et un soutien psycho-social.

L’école Happy Star vise à assurer le bien-être, la survie, la protection et la dignité des droits de tous les enfants, en particulier des filles, vivant dans les bidonvilles et au-delà.

Happy Star Nairobi

Happy Star a vu le jour en 2016 au Kenya. Steve Arodi, directeur et fondateur, est originaire du bidonville de Mathare. Il travaille pour construire des écoles où les enfants peuvent venir étudier, se nourrir et s’épanouir. De même, il veut offrir un programme avec des outils transformateurs pour les groupes et les ménages afin de renforcer la résilience, la confiance, les forces naturelles et les connexions.

En tant que responsable et spécialiste des Droits de l’enfant, Steve dirige une équipe de 13 enseignants spécialisés et 17 experts du changement au sein de la communauté.

Psychologue diplômé, il collabore avec des assistants/es sociaux/ales pour assurer le suivi psychologique des enfants, surtout de ceux qui ont subi des traumatismes violents. Steve et son équipe administrent la gestion durable des projets par la planification, le suivi et le contrôle des processus d’exécution et de soutien de ces dernières. Ils prennent en compte les aspects environnementaux, économiques et sociaux du cycle de vie des ressources, des processus, des résultats et des effets du projet.

L’objectif est d’enseigner aux enfants de Mathare leurs droits, tels que le droit de ne pas être battus ou abusés sexuellement ou encore le droit à l’éducation et à la nourriture.

Il veut leur redonner confiance et dignité pour les rendre fiers. L’accès à une bonne éducation permet aux enfants d’identifier leurs défis et changer leur vie malgré les difficultés dues au contexte social.

Au fil des ans, l’école a attiré plus de 300 enfants, de la maternelle à l’école primaire (4 ans – 14 ans). Une garderie a été construite pour accueillir les enfants âgés de 1 à 3 ans. L’école a continué à se développer en raison de la demande croissante des enfants à recevoir une éducation, des soins de santé et un soutien psycho-social.

L’école Happy Star vise à assurer le bien-être, la survie, la protection et la dignité des droits de tous les enfants, en particulier des filles, vivant dans les bidonvilles et au-delà.

Happy Star Genève

Les 3 membres fondateurs, Alice Denyse Matthey, Tiziana Caminada, et Yves Matthey ont rencontré Steve dans l’ouest du Kenya, en 2014.

Touchés par son histoire, ils tournent le film documentaire « Little Big Steve » en 2017 afin de mettre en lumière son combat pour l’éducation des enfants de Mathare.

En 2018 la fondation Yann Verdina, avec qui le comité entretient des liens étroits alloue à Steve une subvention exceptionnelle afin qu’il puisse transformer son école en taule ondulée en un bâtiment en briques.

Les membres du comité ont organisé diverses projections en concours avec plusieurs institutions afin de récolter des fonds destinés à être versés à l’association Happy Star en Nairobi. Ils ont en outre préparé des dossiers visant à demander des subventions auprès des communes et de la ville de Genève.

En avril 2020, des membres ayant contribué à la formation de l’association ont formé un groupe de soutien pour récolter des dons de manière ponctuelle.

Fin novembre 2020 le comité décide d’officialiser ses activités et fonde l’association Unique Happy Child. Tiziana Caminada est la présidente, Alice Denyse Matthey la vice-présidente, Yves Matthey le secrétaire et Fanchette Kunz la trésorière.

La ville de Genève a décidé de soutenir le projet Happy Star sur une période de trois ans.

L’association a été soutenue par l’ASED (Association Action soutien à l’Enfance Démunie) et a tissé des liens avec la fondation Stéphane Guy Croisier.

Happy Star Genève

Les 3 membres fondateurs, Alice Denyse Matthey, Tiziana Caminada, et Yves Matthey ont rencontré Steve dans l’ouest du Kenya, en 2014.

Touchés par son histoire, ils tournent le film documentaire « Little Big Steve » en 2017 afin de mettre en lumière son combat pour l’éducation des enfants de Mathare.

En 2018 la fondation Yann Verdina, avec qui le comité entretient des liens étroits alloue à Steve une subvention exceptionnelle afin qu’il puisse transformer son école en taule ondulée en un bâtiment en briques.

Les membres du comité ont organisé diverses projections en concours avec plusieurs institutions afin de récolter des fonds destinés à être versés à l’association Happy Star en Nairobi. Ils ont en outre préparé des dossiers visant à demander des subventions auprès des communes et de la ville de Genève.

En avril 2020, des membres ayant contribué à la formation de l’association ont formé un groupe de soutien pour récolter des dons de manière ponctuelle.

Fin novembre 2020 le comité décide de fonder l’association Unique Happy Child.

Tiziana Caminada est la présidente, Alice Denyse Matthey la vice-présidente, Yves Matthey le secrétaire et Fanchette Kunz la trésorière.

La ville de Genève a décidé de soutenir le projet Happy Star sur une période de trois ans.

L’association a été soutenue par l’ASED (Association Action soutien à l’Enfance Démunie) et a tissé des liens avec la fondation Stéphane Guy Croisier.

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Photo d’Emmanuel LUYET